RIEN NE VA PLUS DANS LA MAJORITE LEERSOISE

Mercredi 21 octobre 2009, le conseil municipal de la Ville de Leers statuait, en l'absence de notre groupe, sur une délibération sur le travail du dimanche pour le salariés du dimanche.
Rappelons au passage, que c'est dans la culture de la majorité actuelle, que de changer au dernier moment les dates des réunions . Ce conseil mnicipal était prévu à l'origine le 14 ocotobre...d'où notre absence.

Nous vous laissons juges de l'ambiance qui régnait au consiel municpal du 21 ocotobre....

Extrait de Nord Eclair du 27 octobre 2009 :

Une petite erreur à l'origine de grosses sueurs froides chez Movitex (Daxon)

En lisant Nord éclair, les syndicats de Movitex ont bien failli s'étrangler. Sans jamais avoir été consultés ils ont découvert que le conseil municipal avait accordé à leur entreprise une dérogation de travail dominical.

En fait, une erreur.
Mercredi dernier le conseil municipal était appelé à se prononcer sur le travail dominical au sein de la société Movitex, plus connue sous son nom commercial Daxon. Il était question d'approuver l'emploi d'une vingtaine de salariés le samedi soir entre 22h et 00h pour assurer les livraisons le lundi. « Selon le règlement intérieur de l'entreprise ces horaires sont considérés comme du travail dominical » , avait déclaré le premier adjoint Jacques Sébille, en précisant que les salariés étaient tous volontaires, qu'ils percevraient un salaire majoré à 100% et que les syndicats avaient donné leur accord.
À la lecture de l'article paru dans nos colonnes vendredi, l'intersyndical de Movitex a vu rouge. « Le sujet n'a jamais été abordé, nous n'avons jamais donné notre accord et il n'a jamais été question de travailler le samedi soir. Les salariés se posent beaucoup de questions » , s'est insurgée Vivianne Delrue, représentante syndicale au sein de l'entreprise. De là à imaginer un délit d'entrave, il n'y avait qu'un pas.
Jointes par téléphone, d'autres sources internes à l'entreprise ont fait part de leur étonnement. « Rien n'est jamais passé en comité d'entreprise, ni dans aucune autre instance. Pourtant d'ordinaire il n'y a aucun problème de communication, on a toujours de très bonnes relations avec la direction », indiquait une représentante du personnel au CE. Contactée elle aussi hier, la direction n'était pas en mesure de répondre à nos questions.
La solution de cet imbroglio politico-économique est finalement venue du premier adjoint Jacques Sébille qui a reconnu s'être emmêlé les pinceaux : il n'est pas question de travailler le samedi mais le dimanche soir, ce qui est déjà le cas.
Reste toutefois une question à laquelle les syndicats de Movitex aimeraient obtenir une réponse : « Pourquoi la préfecture demande aujourd'hui un avis au conseil municipal alors que ça fait trois ans qu'on travaille le dimanche soir ? » GILLES MARCHAL